J’aimerai savoir où le monde va, le Monde de l’Art


Il existe sur internet une râleuse de talent. Nicole Esterolle . Elle rentre dans l’art du pauvre Duchamp à tout bout de champs et de ses servants du ministère et du parterre de « L’Art Contemporain. »
Elle n’est pas la seule mais sa grande gueule la place au-dessus des mères Michèle qui ont perdu leur chat.
Qui c’est qui le retrouvera ?
L’art à Papa ?
De temps en temps je prête une oreille aux décibels. Allez voir sur internet. Sur son face –book elle rameute les siens qui bouffent du conceptuel à tire d’ailles . C’est la gouroute de l’art malbouffe. C’est une diva, je ne vous dis que chat .
Tout ce beau monde monte au créneau pour dire du mal du ready-made et des suivant concomitants de l’enterrement de l’art d’avant au bon vieux temps de la peinture à l’eau et à l’huile et du burin et du marteau.
Que nos dessins, notre destin, montent aux cieux sous le marteau toujours plus haut, du commissaire priseur ça
me laisse pantois.
Mais revenons sur nos pas, à nos oignons, à nos façons.
Picasso est passé par là et le fiston ne le rattrapera pas .
Je l’espère par foie .
J’aimerai savoir où le monde va, le Monde de l’Art
Ce n’est pas par là mais je ne vois pas où c’est là bas.

Pierre Prevost
Le 21 03 2016